L'Homme de Passage
C'est un de ces matins
Où l'on se croirait à la mer
Avec du vent et un peu de soleil
Et des nuages disparates
Cela me rapppelle ma propre jeunesse
Où j'étais en admiration de la nature et de ses mystères
Il y a peut-être un côté insondable
Qui stimule l'imagination
Seule la nature à ce côté magique
Dont l'homme a si peur
Peur de ne plus contrôler
L'a-t-il déjà fait ?
Depuis la centaine de miliers d'années qu'il est sur terre
A-t-il contrôlé la nature ?
Et ses arbres ?
Quelles fadaises !
L'homme est de passage, pas la nature