Il est évident que le névrosé n’a pas l’impression d’être une personne pleine et entière. Il sent que les conflits dont il souffre, ses tâches inachevées, le déchirent et le mettent en pièces. Quand il se reconnaîtra comme homme – comme un tout unifié – il recouvrera le sentiment de plénitude auquel tout être humain devrait naturellement avoir accès.