Combien j’eusse aimé que les films projetés dans cette salle puissent revenir en arrière comme, pour nous faire rire, on nous l’avait montré un après-midi de patronage, tout en sachant que le subterfuge n’était qu’un leurre, que les comédiens demeuraient fixés dans la bobine avec leurs gesticulations à l’envers et leurs mots transformés en gargouillis, sans qu’ils s’échappent pour autant d’un destin dans lequel ils étaient épinglés comme papillons dans une boîte.