Au bout de quelques minutes d'une course folle, je fais demi-tour et tombe sur des promeneurs avec des képis bleus marine et une matraque à la ceinture. Ca ressemble à un engin pour assommer les chiens qui manifestent dans les rues quand ils ne sont pas contents, qu'ils exigent une vie meilleure, des niches plus grandes et la baisse du prix des croquettes. (p. 20)