Comme d’habitude, si les larmes m’étaient montées aux yeux au moment de ma punition, par fierté, je les avais retenues jusqu’à ce que je me trouve à l’abri de mon lit. Là, mes sanglots, que j’avais essayés d’étouffer pour ne pas réveiller mon frère, s’étaient progressivement apaisés. L’entrée et la remarque de ma grand-mère firent à nouveau jaillir mes pleurs.