Bras dessus, bras dessous, nous retrouvons le froid mordant de la cour, où les pavés sont plus glissants qu’une patinoire. Je lève les yeux sur la façade, les fenêtres, les balcons, les toits, les statues, les coupoles. C’est étrange comme ça peut paraître hostile, tout à coup. Et je me dis que ce fou est encore là, quelque part, tapi dans ce dédale où personne ne le trouvera. Si on était dans un film, il nous observerait par une fenêtre, avec un sourire mauvais.
Mais on n’est pas dans un film.