En 2015, Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron partent s’entrainer à Montréal sous la houlette de Romain Haguenauer et Marie-France Dubreuil.
Concerto n°23 de Mozart – chorégraphie inspirée du célèbre ballet « Le Parc » d’Angelin Prejlocaj.
« J’ai ressenti un genre de déclic, décrit Guillaume. Elle nous donnait quelque chose qu’on avait cherché pendant longtemps, une manière de bouger sur la glace différente, intelligente, beaucoup plus naturelle pour moi. Marie nous a vraiment donné le véhicule avec lequel on a pu découvrir notre style, qu’on ne connaissait pas avant. »
On avait aussi cette idée de créer quelque chose à partir de rien et que ces choses vont être détruites, finir en poussière ou en cendres à un moment ou un autre. La beauté de savoir que ce qu'on construisait allait se détruire à un moment, qu'il fallait en profiter.