Citations de Gabrielle Raphaëlle Wolf (10)
Je ne savais pas qui j'étais. Je ne savais pas où j'étais.
Je m'étais réveillé ici, en ce lieu, comme si j'étais né dans cet endroit. Je ne me rappelais rien. Aucune familiarité ne m'apparaissait. Je me sentais perdu, abandonné, désemparé.
Je m'étais réveillé ici, en ce lieu, comme si j'étais né dans cet endroit. Je ne me rappelais rien. Aucune familiarité ne m'apparaissait. Je me sentais perdu, abandonné, désemparé.
Un frisson me parcourut lentement le long de la colonne vertébrale. Il m'avait semblé voir une lueur traverser le regard de ma nouvelle figurine.
Même lorsque je vais aux toilettes, Monsieur arrive, ouvre la porte et saute sur mes genoux. Lorsque je prends ma douche, il est toujours là à poser ses petites pattes sur le rebord de la mémoire.
Sa bonne étoile lui a offert les portes d'un avenir prometteur et heureux, choyé et aimer comme jamais.
Oui, je pense que d'avoir été délaissé, à la limite de la maltraitance aide beaucoup pour demeurer gentil et
mignon.
mignon.
Nos prunelles se croisent… Et la magie opère
immédiatement.
immédiatement.
Bonjour, je suis Timber ! Oui, je sais, mon prénom n'est pas banal, mais c'est mon nouveau papa qui me l'a trouvé et je trouve qu'il me convient à merveille. On m'a dit que ce sont des bûcherons au Canada qui crient ce mot lorsqu'un arbre et scié et prêt à tomber. Au moins je comprends mieux la signification de mon prénom, ça signifie en gros que je suis tombé du ciel. Ça me plaît beaucoup !
OK, je plane complet là ! Un des cadavres ambulants appelle ses potes et voilà qu’une dizaine de ces monstres jaillissent de la télévision. Ils se positionnent devant moi, dans mon salon et entament une petite danse rien que pour moi. Je me tiens le ventre tellement je me bidonne et lorsqu’ils se mettent à recopier la chorégraphie de Thriller, ma crise de fou rire atteint l’apothéose.
Je me trouvais dans un endroit qui m'était totalement inconnu. Je ne reconnaissais absolument rien qui aurait pu me paraître familier dans ce genre d'obscurité malsaine. Cela m'étouffait, à un tel point, que je commençais à souffrir de claustrophobie. J'avais l'impression d'être dans un couloir infini, aux murs repeints de noir.
Je l'ouvris en déchirant l'emballage... Et ne pus retenir le hurlement de terreur qui me foudroya littéralement sur place. Une peur effarante m'envahit aussitôt, une émotion malsaine qui régna en mon être et démolit mon âme un court instant.
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Quand les enquêteurs parlent...
— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie
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