Combien sont-ils ceux qui connaissent Koshi Muramato, ce maitre du XVIII siècle, qui, dans sont atelier de Kyushu, se consacra exclusivement aux netsuke macabres? Mortes sodomisées par des hyènes, succubes fellateurs, squelettes masturbateurs, cadavres enlacés comme des nœuds de vipères, fantômes dévorateurs de fœtus, courtisanes qui s'empalant sur la rigidité d'un mort ....