Les physiocrates du XVIIIe siècle avaient raison : toute la valeur provient ultimement de l'agriculture. Quand il n'y aura plus d'énergie, qu'à s les chaînes d'approvisionnement seront rompues et les réseaux de télécommunication coupés, quand les voitures n'auront plus d'essence ni de batterie, à quoi penseront les gens? A poster un commentaire scandalisé sur leurs écrans éteints ? Non, Ils penseront à survivre, le lot commun de l'humanité avant la révolution industrielle. Ils fuiront les villes comme des rats. Ils voudront de la terre. De la terre pour vivre et pour se nourrir.