Je suis de trop. Dieu
et la mer. qui en est l’image précaire
veulent s’aimer comme l’impose leur destin
la mer, et la terre que les hommes n’aiment guère
et l’énorme échange pneumatique de leurs souffles embués
De trop, me disais-je
et je suivais, ô mère, votre regard éteint