D’ordinaire, cette sorte de chapardeurs étaient des domestique mal nourris (….)en l’absence de leur maître, ils cherchaient à se procurer quelque butin parmi les troupeaux du voisinage….Ces teraccos pastores, - bergers domestiques, - ne pouvait pas se permettre d’être découverts la main dans le sac, car l’affaire aurait risqué de compromettre, aux yeux des gens, l’ honneur de leur maître : ç’aurait été une preuve irréfutable que ce maître les nourrissait mal. Souvent, la conduite irréprochable des domestiques attestait le prestige social du maître …