Repartir à zéro, tout casser, tout oublier c'est l'essence même de Berlin, capitale de la résilience. Sa nature de funambule est sa force. Déjà, dans les années 1920, sur les cendres de la Première Guerre mondiale, la belle Teutonne avait atteint l'apogée de son rayonnement dans un étrange mélange de désespoir et de fête qui alimentait une renaissance artistique , musicale et littéraire.
Aucune ville n'est Une. Berlin moins encore que les autres. Son énergie captive, ses cicatrices émeuvent, ses paradoxes fascinent tout autant qu'ils agacent.