Au détour de la Sardaigne, il capture quinze vaisseaux génois chargés de blé. Puis il retrouve un vieil de Girbé, le corsaire Délissuf, à la tête de quinze flûtes qui viennent de saisir une splendide galère vénitienne. Les deux compères voyagent de conserve afin de se protéger mutuellement si d’aventure ils croisaient Doria. [… ] Ils s’amusent au passage de l’île d’Elbe qu’ils ravagent de fonds en comble. Aux abords de Monte Cristo, huit bâtiments génois les affrontent dans un combat sanglant, avant d’être brûlés. Barberousse reste seul possesseur de tous les captifs et d’un prodigieux butin. Poursuivant sa route, il contourne la Sicile, évite Malte …