Geneviève Chauvel est une auteur très reconnue parmi les lecteurs de roman d'histoire. Elle revient avec un livre sur la premier maire de Paris, Sainte-Geneviève.
"La vie de sainte Geneviève est nimbée de légende. On lui conférait des dons surnaturels : elle aurait rendu la vue à sa propre mère ! Mais elle était surtout une femme politique : elle exhorta les Parisiens à préserver leur foi des hérésies barbares et fut, vraiment, leur premier maire. Son plus haut miracle reste d?avoir décidé Clovis à courber la tête devant l?évêque Rémi pour se faire chrétien. Elle souda les Francs, les Gaulois, l?Église et permis l?émergence de la France moderne...
Qui donc était cette authentique rebelle qui sut imposer sa vision dans un monde dominé par le glaive et la toge ?"
Pour avoir plus d'informations et lire un extrait :
http://www.editionsarchipel.com/livre/sainte-genevieve-premier-maire-de-paris/
+ Lire la suite
La parole de Dieu et celle du Prophète ne peuvent être déformées. Il faut beaucoup de rigueur pour maintenir la vérité. Tant que je vivrai, je veillerai à ce qu'elle soit respectée scrupuleusement sous peine d'ouvrir la voie à un islam bien différent de la Révélation. Les interprétations mal contrôlées conduiront à une religion qui sera le contraire de ce que Dieu nous a enseigné par la voix de son Envoyé.
Autour de George, les amis se rassemblent pour prendre sa défense et la soutenir. On parle beaucoup de "criminel auteur" de cette Lélia qui, pour la première fois, ose dire tout haut et sans pudeur, que les étreintes des mâles peuvent laisser de marbre celles qui les subissent. Un tel aveu déclenche un concert d'insultes qui couvre les rares éloges comme cette prédiction de Chateaubriand qui voit en George Sand le futur "Lord Byron de la France".
Écrire est son temps de liberté. Seule devant sa page, elle n'a d'autre maître que son esprit qui écoute la musique de son cœur sur le chemin d'un amour absolu qu'elle cherche depuis longtemps. Le trouvera-t-elle un jour ?
Ce sont notre propre arrogance et notre orgueil qui font notre tourment. Plus nous croyons pouvoir, moins nous sommes dépendants de Dieu et pire est notre peine.
Le Mal n'existe que dans nos pensées, par notre corps qui écoute sa peur et fabrique sa douleur.
Ceux qui descendent dans la fosse aux lions et en ressortent à demi dévorés resteront-ils mutilés et rampants toute leur vie ? Bah ! Vive l'amour quand même.
Si tu parles avec ton cœur, tu peux ranimer le feu dans les cœurs des autres. Et il n'est rien de plus attachant que l'amour.
Que de larmes, que de sanglots ! La mort m'eût semblé plus douce que cette lame de feu qui me déchirait l'âme et me torturait dans ma dignité. De l'homme que j'aimais avec passion, je recevais l'ordre de me soumettre à un autre que lui. Où était sa confiance ? Où était son amour ? Ma tête tournait et ma raison vacillait. Les pensées les plus noires assaillaient mon esprit.
"On se sert de couleurs, mais on peint avec le sentiment"
N'est-ce pas ce que Chardin disait à ceux qui se vantaient de leur technique
de coloris ?
Pour me consoler, me purifier l'esprit en quelque sorte, il me reste mon cher travail dans lequel je m'enferme avec une fougue décuplée.
Quelle autre passion m'emportera tout entière et me brûlera aussi fort jusqu'au coeur de l'âme ?