J'avais recommencé à marcher dans le village. Je m'en allais sur les chemins vers les cinq heures quand tu ne fais plus la différence entre le chien et le loup. À ces moments, tous étaient chez eux et je pouvais, sans me gêner, regarder à l'intérieur des maisons, voir comment les familles vivent quand ce sont de vraies familles, pas comme chez nous où on est sans cesse dans le silence car trop de nous ont disparu.