Je ne savais pas encore qu’au fil du temps, à vouloir être ta voix, tes bras, tes jambes, ta volonté, même : qu’à tenter de pallier toutes tes pertes, je me perdrais un peu aussi.
Qu’à chaque deuil d’un bout de toi, je t’offrirais un morceau de moi pour adoucir la pilule, et m’appartiendrais un peu moins.
Je ne savais pas parce que ça ne faisait que commencer,