L'imperfection de la forme artistique se trahit, par conséquent aussi, comme imperfection de l'idée. Si donc nous rencontrons, à l'origine de l'art, des formes qui, comparées au véritable idéal, n'y répondent pas, ce n'est pas dans la même sens que l'on a coutume de dire des ouvrages d'art qu'ils sont défectueux, parce qu'ils n'expriment rien ou sont incapables d'atteindre à l'idée qu'ils doivent exprimer.