En 1944, on était loin des QR. Codes, et Bernanos écrivait :
« il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats. Ce n’était pas ses doigts qu’il craignait de salir, c’était sa dignité, c’était son âme ».