Encore une pensée de cet écrivain que j'aime, qui est décédé le 24 octobre de cette année.
C'est dans le silence que l'invisible fait son chemin.
La vue des grands malades, des mourants --- l'ai déjà dit --- étrangement me réconforte. C'est comme si, par leur état, ils ouvraient ce chemin qui sera tôt ou tard le nôtre