L’Église elle-même, depuis le Xe siècle, est hésitante, partagée : d’un côté elle loue Charles en tant que propagateur du christianisme chez les païens et vainqueur des musulmans, et d’un autre côté elle le condamne comme usurpateur des biens d’Église et agent de la mainmise laïque sur les nominations d’évêques et abbés, considérés comme de simples auxiliaires de sa politique.