Rose ne possédait certes pas ce type de beauté fleurie et dodue qui fait tourner les têtes, mais elle s’imposait par une séduction supérieure, perceptible des vrais amateurs. La tunique, quasiment républicaine depuis l’abandon des robes à paniers, flattait déjà sa silhouette svelte et ferme, dans la plénitude de la jeunesse, et les décolletés pro-fonds des merveilleuses faisaient valoir sa poitrine déjà mûre.