Vous êtes comme ces grains de sable. Chacun est une infime particule. Une centaine, plusieurs centaines, qu'importe ? Jette-les en l'air. Tu ne les retrouveras même pas une fois qu'ils seront retombés sur le sol. Ils sont infinis. Vous vous déverserez sur cette terre, et nous serons étouffés. Vos murs de pierre, vos arbres morts, les sabots de vos bêtes étranges piétinant les bancs de palourdes. (…) Vos murs vont s'élever partout et ils finiront par nous exclure.