Sido a raison quand elle affirme : « Si tu n’avais pas vécu quelque temps avec ce phénomène, ton talent ne se serait pas révélé. » C’est fait, il s’est révélé. Déjà, la jeune Colette Willy pense, s’exprime en écrivain véritable, consciente d’avoir « un devoir envers [elle]-même ». Ce devoir, elle le remplit en mettant un point final à La Retraite sentimentale, dernière aventure de Claudine ; en écrivant ses premiers Dialogues de bêtes.