Je veux me persuader qu’en toutes choses, plutôt qu’un pion poussé au gré des chiffres, nous sommes volonté et raison et que nous façonnons nous-mêmes notre vie. Le vent de l’Histoire, sans doute, ce sont les peuples qui le soufflent, mais les grands caractères peuvent le dévier, et les petits, pris dans le tourbillon, sont encore libres de lui résister ou d’y céder. Ainsi de mes deux personnages de traîtres.