Tout à l'heure, au téléphone, j'ai deviné
ta voix trembler.
Tu as souvent peur qu'elles s'évanouisse comme dans ces contes.
où une fée capricieuse vous prête un don provisoire et fragile.
Et parfois, c'est vrai qu'elle fout le camp, que tu ne peux plus chanter.
Tu cesses d'être en harmonie.
lettre à Barbara