Gérard Guillet

Dans cet ouvrage, l’auteur fait le point sur les différents états et rôles de la peau, en y ajoutant une dimension « sociologique » et « historique ». Il décrit l’évolution de la perception de ses différents composants (couleurs, cheveux/poils, ongles…), de ses états (c’est une enveloppe qui réagit aussi bien aux émotions qu’au soleil), sa santé ou ses maladies, ses décorations (tatouage, maquillage…) et ses soins.

En conclusion, l’auteur explique que la peau garde l’empreinte de notre histoire gravée en elle, la montre et « qu’elle est la vie » (je cite le livre, n’ayant pas réussi à suivre l’auteur dans sa démonstration pour arriver à cette dernière phrase du livre).



Très honnêtement, je n’ai pas compris l’intérêt de cet ouvrage ; l’auteur nous délivre des banalités en leur donnant une dimension évolutive et en expliquant l’histoire de leur évolution, en survolant l’esthétique, le cosmétique, la chirurgie et la dermatologie (quand je parle de survol, je veux dire que l’auteur évoque seulement ces domaines, sans se donner la peine de détailler ce que chacun apporte à la problématique traitée !). Après avoir refermé le livre, il n’y a rien qui ait marqué mon intérêt ou ma curiosité… Je n’ai pas eu l’impression « d’apprendre des secrets » (ou d’apprendre quelque chose tout court) ou d’avoir des billes pour décrypter les messages que la peau nous enverrait. G. Guillet n’a pas spécialement un talent de romancier, n’a pas vraiment légitimité à parler histoire, folklore, etc, alors qu’il semble que ce soit l’éclairage original qu’il ait décidé d’appliquer sur la peau, cet organe sensoriel qui marque la frontière entre soi et le monde.

En conclusion, je suis complètement passée à côté du livre !

Au-delà de l'apparence, la peau, nue, fardée, tatouée, parée, parfumée, saine ou malsaine, exhibée ou cachée....serait le reflet de notre âme.

Ce livre, fort bien documenté, m'a interrogée à mon tour, quel sens donnons-nous aujourd'hui au maquillage, au tatouage, contient-il un sens particulier, une symbolique, au-delà de la valeur que chacun lui donne ? On nous a appris dans l'enfance qu'une bonne présentation de soi, au-delà d'un souci de santé, était une sorte d'égard que l'on devait aux autres, une politesse en quelque sorte... qu'en est-il du maquillage, une politesse ? Une convention sociale ? y a-t-il outrage à se montrer tels que nous sommes réellement avec nos imperfections de peau, nos rides ?

Mais ce n'est pas le propos de ce livre ; l'auteur, professeur en dermatologie s'est interrogé sur la symbolique de la peau au travers des époques, des cultures et des religions.

Un très beau conte, magnifiquement illustré pour raconter un évenement naturel avec la magie de la légende.



A Escoublac, un jeune homme rêve d'amour, il va rencontrer Yaouankiz, la fille du vent et va devoir affronter trois épreuves pour pouvoir vivre son amour. Aura-t-il la force, le courage et la chance des les surmonter ?



Un très belle écriture pour un roman jeunesse publié dans la collection Castor Pocha Cadet chez Flammarion.

Avec le bateau maudit Gérard Guillet signe un plaidoyer pour la nature.



Prés de Madagascar, sur l'île de Nosy Be, violant les lois internationales, M.Axwell commence a décharger de son bateau de mystérieux fûts tout en achetant le silence des pécheurs.

Le jeune Tida et sa soeur décident d’empêcher cette pollution.

Un combat s'annonce entre les adultes aveuglés par le profit et les enfants qui veulent un avenir propre.