Si les menaces d'agression ou les agressions sont fortes ou si, moins importantes, elles sont répétées et si notre résistance est faible, nous développerons une maladie "psychosomatique" : les organes affectés par les réactions physiques liées à l'anxiété ou à l'agression en deviennent malades. [...] L'erreur serait de ne vouloir soigner que le viscère, alors que celui-ci ne fait qu'exprimer l'anxiété. Il faut savoir décrypter le langage du corps et découvrir l'anxiété originelle et ce qui la nourrit. Les plaintes des organes ne sont que des messages : l'intestin crie mais c'est l'âme qui gémit. À la longue, les troubles, de fonctionnels deviennent organiques.