Avec Bernard Groethuysen
(...) A l'heure exacte du rendez-vous, un petit rouleau de papier sous le bras, j'ouvrais la porte du bureau de la Revue. Il y avait du monde.Le visage radieux, les mains tendues, Bernard Groethuysen vint à ma rencontre.Il ressemblait, avec sa barbe, à un roi mage, à Verlaine, à Kropotkine, à Socrate, à la plus belle image de l'homme de mon cœur.
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