Gérard Pangon

A quoi bon critiquer une plaquette destinée à une lecture rapide, jetable, gratuite et introuvable?

J'ai pourtant eu plaisir à la retrouver, la retourner dans tous les sens, la feuilleter, la relire. Sans être un fan déclaré de Mastroianni, je l'avais toujours admiré et retrouver ces témoignages m'a fait chaud au cœur.

La scène où Pialat juste palmé montre le poing au public du festival a aussi été agréable à retrouver : "Je suis content pour tous les sifflets que vous m'adressez. Si vous ne m'aimez pas je peux vous dire que je ne vous aime pas non plus."