Jusqu'à sa mort on est promesse. On naît promesse, on est promesse et on scelle cette promesse du chemin à l'heure de notre mort.
Notre avant et notre après ne doivent pas trop nous préoccuper. Nous n'avons pas vraiment de prise réelle sur leur réalité ultime. Mais notre présent, notre maintenant, nous devons le servir, le nourrir, le chanter, le glorifier.
Maintenant et à l'heure de notre mort.