A chaque interaction avec l’un de ces individus, je m’étonne du peu d’évolution sur la connaissance de la personne. Les rapports ici ne sont que des convenances, l’attitude est individualiste au possible. Nous échangeons tous quelques mots, une bise étrangement proche, une poignée de main moite ; tout un simulacre de relations humaines puantes sans engagement émotionnel. Chacun se fout éperdument de l’autre.