Gido Amagakure

Eh voilà la suite tant attendue du Sweetness & lightning ! J’avais vraiment hâte de lire ce second tome pour me conforter dans l’idée que c’était une saga tout à fait faite pour moi. Et oui, sans suspens, je pense que c’est clairement le cas.



Nous repartons dans le même schéma que dans le premier, à savoir que nous voyons le quotidien Tsumugi et son papa avec pour point central les repas qu’ils préparent seuls ou bien avec Kotori. J’aime toujours le principe, déjà parce que cela donne carrément envie de se mettre derrière les fourneaux pour manger ces plats qui ont l’air à tomber, et aussi parce que l’on voit bien que la relation entre le père et la fille se développent autour de cette activité. C’était le coup de pouce dont ils avaient tous les deux besoin, surtout après le décès de la mère de notre jeune héroïne.



J’avais un peu peur, je l’avoue, que le côté répétitif de la cuisine soit rébarbatif à la longue, mais vraiment, je trouve que Gido Amagakure arrive à tourner les scènes pour les rendre inédites à chaque fois. Il y a toujours un petit quelque chose qui a conduit à tel ou tel repas : un souvenir de sa maman, son plat préféré, les légumes qu’elle déteste… et à travers ces scènes, Tsumugi parle beaucoup avec son papa et Kôhei est plus confiance dans son rôle de papa célibataire. Et puis, c’est très mignon à chaque fois.



Chose intéressante, par contre, c’est qu’ici, le cercle autour de notre trio s’agrandit pas mal. Et là encore, je trouve que c’est un très bon choix. Ne pas se cantonner à nos héros permet aussi de varier les situations et de voir un peu plus de leur quotidien. On sort de la petite bulle qu’ils s’étaient créée. Déjà Yagi, le copain de lycée de Kôhei. Alors, dans le genre célibataire cool, pas prise de tête, je l’ai tout de suite adoré. Sa relation avec Tsumugi est aussi très mignonne. Il lui parle librement, la gâte complètement, mais sans en faire trop. On découvre aussi Shinobu l’amie de Kotori. Savoir que l’adolescente n’est pas seule était un soulagement, et l’histoire que l’on voit a quelque chose de très touchant à plusieurs niveaux. Shinobu marque elle aussi de gros points. On voit aussi les camarades de classe de Tsumugi et leurs mamans. Tout un univers ! Mais cela permet aussi à Kôhei de se rendre compte de certaines choses, qui disons, étaient plus gérées par sa femme que par lui. C’est une bonne prise de conscience qui n'est pas négative.



Donc, on voit clairement l’univers de nos héros s’élargirent et c’est un soulagement. Les nouveaux personnages sont très plaisants à suivre et cela permet d’en voir un peu plus. La relation père-fille est toujours aussi au centre de tout, mais elle se mélange également à la vie quotidienne.



Sweetness & lightning est un très chouette manga de tranches de vie qui pour moi tient encore ses promesses. Tout doux et adorable, il donne l’eau à la bouche (à lire après avoir mangé de préférence…) et permet de voir se construire une délicate, mais attendrissante relation. J’ai hâte de voir évoluer le petit cosmos que l’on voit se créer et s’étendre petit à petit.

Depuis que j’ai découvert Steam reverie in amber, je m’intéresse de beaucoup plus près à la section manga de Noeve Grafx. Et Sweetness & lightning m’a tout de suite fait de l’œil avec sa couverture drôle et attendrissante. Quand, en plus j’ai vu que le manga était à un tout petit prix, je me suis dit qu’il serait dommage de passer à côté.



Et j’ai tout de suite adoré. Je me doutais que le manga serait mignon et drôle, mais j’avais un peu peur tout de même avec le côté cuisine, surtout après avoir lu certaines chroniques dessus. Mais mon apriori s’est vite dissipé car Gido Amagakure arrive à rendre les scènes amusantes et pas du tout redondantes. On aurait d’ailleurs presque envie de se mettre derrière les fourneaux quand on voit les mines réjouis de nos trois héros à chacune de leurs dégustations.



La cuisine est un fil conducteur dans Sweetness & lightning mais il y a bien plus que cela. Kôhei est veuf depuis très peu de temps et il se retrouve à élever sa fille Tsumugi sans vraiment avoir toutes les cartes en main. Il se débrouille bien et jongle comme il le peut entre son travail de professeur et son rôle de père, mais on voit aussi qu’il est parfois un peu dépassé. La cuisine étant l’un de ses gros points faibles. La famille Inuzaka se nourrit d’ailleurs exclusivement de plats tout prêts… Pas l’idéal, on le sait tous mais parfois on ne peut pas vraiment faire autrement. Et puis, il y a le déclic. Kôhei décide de se mettre à la cuisine après sa rencontre avec Kotori, une élève de son lycée. Les deux finissent même par se mettre d’accord pour s’entraider. Et c’est une relation aussi étrange qu’adorable qui se met en place.



Il est difficile d’ailleurs de résister aux trois personnages. Kôhei est dépassé, mais il est aussi plein de bonne volonté et il ferait tout pour sa fille. C’est un super papa qui se débrouille comme il peut et qui ne veut qu’une chose : le bonheur de Tsumugi. Cette dernière est un petit bout absolument trop mignonne. Elle me fait beaucoup penser à Anya de Spy X Family d’ailleurs. On y retrouve la même candeur, la bonne humeur communicative et un petit caractère qui promet. La perte de sa maman n’est pas encore trop exploitée par la mangaka mais en même temps, elle est très jeune. Peut-être un élément à exploiter plus tard. Et puis, nous avons Kotori, une lycéenne qui vit seule avec sa mère et qui elle aussi se sent seule. La cuisine va les réunir tous les trois et leur permettre de sortir la tête hors de l’eau.



Ce premier tome est une succession d’aventures avec un schéma assez similaire. Les personnages mettent en place une sorte de routine mais construisent aussi leurs relations. Pour moi, vu ce que traversent nos héros, il y a une marge de manœuvre assez vaste pour faire de Sweetness & lightning bien plus. Probablement pas pour les prochains tomes, mais je vois bien le manga évoluer en quelque chose de plus complexe et exploiter les failles des personnages plus en détail. C’est en tout cas tout ce que je souhaite.



Pour l’instant, je me contente parfaitement de cette lecture toute mignonne et qui m’a donné le sourire.

Les fans de mangas risquent d'être moyennement emballés car le schéma reste très classique. Un très gentil et très séduisant papa veuf, enseignant à l'école aime de tout son coeur sa petite fille. Une enfant très jolie, très sage, très curieuse et toujours enthousiaste. A cela se rajouter une adolescente qui se forme à la cuisine comme toute bonne futur épouse. Elle est jolie et attachante dans sa maladresse. Le tome se termine sur les émotions qui commencent à poindre à force d'être proche de son prof. Le thème principal reste la cuisine et le champ des possible qui s'ouvrent devant les néophytes. Si vous souhaitez reproduire les plats chez vous laissez tomber, ce n'est pas le but. Vous pourrez découvrir la richesse de la cuisine japonaise qui se montre très grande. Aucun problème à remplir les 12 prochains tomes. La suite sera consacré à la découverte des légumes pour les faire apprécier à la petite fille. Beaucoup de parents pourront facilement se reconnaître dans ce récit. Bien que le manga commence difficilement car se succèdent une suite de courtes saynètes sans vrai rapport entre elles. Après quelques pages, débutent enfin l'histoire qui se déroule sur plusieurs jours. On voit apparaître le fil conducteur. Il est dommage que l'on trouve du texte écrit en minuscule car c'est contraignant à lire. Et au final, on saute les passages car si c'était important, la taille de caractère aurait mieux été choisi. Bref, une lecture sympathique et sans prise de tête. Léger pour redonner le sourire puis l'oublier aussitôt.
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Cuisine, famille et moments partagés ensemble



Sweetness & Lightning est une série qui sera en 13 tomes, il existe également un anime disponible sur la plateforme Crunchyroll.

C'est tout doux, charmant, pipou, adorable, sans grandes épopées mais donne le sourire.

Cela peut se lire même fatiguée ou cassé(e) par la chaleur.

Attention, cela pourrait donner faim.

Entre les chapitres, vous avez les recettes.



Kôhei Inuzakan s'occupe tout seul de sa fille, Tsumugi. Sa femme est décédée il y a quelques temps. Il ne sait pas toujours quoi faire, mais il est très prévenant, très à l'écoute d'elle et ses besoins, et il la connaît bien.

Il lui fait des plats préparés qu'elle mange devant son anime préféré à base de magical girls. Il y a deux choses, il lui manque le goût du fait maison mais aussi le repas familial est un moment de partage où la famille est réunit autour da la table, mange, partage et discute.

Dans la vie, Kohei enseigne au lycée.



Par un étrange concours de circonstances, Kohei va rencontrer Kotori. Il y a alors plusieurs choses qui vont se passer et le résumé induit légèrement en erreur. Kotori ne sait pas tellement plus cuisiner, c'est sa mère qui sait tout mais qui est aussi très prise par son travail.

Kotori et Kohei vont s'améliorer ensemble. Kotori a l'observation, les recettes, le cahier des charges, maintenant il lui faut passer à la pratique et réaliser.

L'autre, c'est que Kotori est déjà assez solitaire mais en plus se retrouve souvent seule, ainsi elle ne peut plus partager ses repas avec sa mère, mais va tisser un lien avec la famille de Kôhei.



Nous pouvons aussi remarquer que quand Kôhei s'inquiète de possibles rumeurs, de voir une lycéenne en dehors des cours, mais toujours avec sa petite fille, un professeur âgé dit des mots intéressants, aussi qu'avant plus de choses étaient faisables.

Nous les suivons tout tranquillement dans leurs vies de tous les jours, avec des problèmes, des essais plus ou moins réussis de plein de plats, et Tsumugi qui a bien plus d'entrain à manger ceux-là.

Avec sa collection XS à petits prix, Noeve Grafx donne envie de tester ces nouvelles licences, même celles qui a priori ne nous auraient pas tentés autrement. Je me suis donc laissée séduire par la couverture toute mignonne de Sweetness & Lightning avec cette petite fille sautant au cou de son père en tablier !



Le titre a connu, avec ses 13 tomes terminés, a connu son petit succès au Japon puisqu'il a été adapté en animé. C'est ainsi que ce tranche de vie est arrivé chez nous, faisant partie de la première fournée des titres XS annoncé par Noeve Grafx pour sa collection à 3€95. Beaucoup de ces titres avaient des adaptations animés, je n'ai donc pas été surprise de découvrir que c'était le cas ici. Mais pour le moment parmi les 6 sortis, seul Coppelion a su un peu tirer son épingle du jeu, les autres étant assez anecdotiques ou pas à mon goût. Qu'en est-il de Sweetness ?



Dans ce premier tome, on cerne très vite le titre et ce que compte nous proposer Gido Amagakure par la suite. Sweetness & Lightning est une série tranche de vie centré sur un père célibataire, qui a récemment perdu sa femme et élève seul sa fille, qui va encore au jardin d'enfant. La vie de père en solo n'est pas facile. On le voit donc au début courir un peu dans tous les sens. Mais on sent chez lui une vraie volonté de prendre soin au mieux de sa fille même s'il n'est pas parfait. Et c'est sur la question de la cuisine qu'il va chercher le plus à progresser suite à la rencontre fortuite avec une élève de sa classe, fille de la patronne d'un petit restaurant. 



Le titre se veut lumineux, plein de douceur et de joie de vivre. La fille de M Inuzuka, Tsumugi, est un vrai rayon de soleil, une petite boule d'énergie et un joli mouton cotonneux. Ainsi même si leur quotidien à deux ne doit pas être simple, on ne nous le fait pas sentir. le titre s'axe plutôt sur les sentiments qui les lient et leur envie à tous les deux de rendre l'autre heureux. C'est donc tout mignon à lire.



Le choix d'axer l'histoire sur les repas et leur préparation est judicieux. Ainsi à chaque chapitre, on assiste presque à de vraies leçons de cuisine qu'on pourrait reproduire pour faire de bon petits plats. En plus, on le sait, la cuisine est le lieu parfait pour les échanges et une chouette activité à faire en famille. Pour le lecteur, c'est forcément charmant et appétissant, surtout que s'y ajoute le fait que notre héros est une quiche en cuisine au début et qu'il doit donc apprendre, tel un novice, le tout avec l'aide de l'une de ses élèves.



Celle-ci, Kotori, dont la mère tenait un restaurant mais qui n'est jamais là et semble tout le temps occupée, ajoute une dimension humaine supplémentaire au récit, mettant M Inuzuka dans une position de professeur à l'ancienne, en mode "Onizuka de GTO", où il aide celle-ci à se sentir mieux par un biais détourné. C'est gagnant gagnant entre eux et une jolie relation se noue entre ce trio.



Cependant l'ensemble de l'oeuvre, bien que pleine de bons sentiments, est un peu fade et convenue pour moi. C'est mignon tout plein de suivre Kotori dans son envie d'être aimée et son père dans son envie de la choyer, mais ça ne vole pas très haut quand même. Les chapitres, dans leur format, sont très vite répétitifs et une fois qu'on a compris le schéma, il n'y a que peu d'intérêt à suivre le même pendant quand même 13 tomes !, ce qui doit représenter une évolution très très modeste au fil des tomes. Donc même si j'ai aimé ma lecture, je ne pense pas aller plus loin, ce premier tome se suffit à lui-même pour moi et ne me donne pas envie d'en voir plus, comme cela pourrait être le cas dans d'autres tranche de vie où l'humour est plus présent, l'émotion plus prégnante ou le décor dégage quelque chose de plus.



D'ailleurs, en dehors du design de la petite Kotori que je trouve charmant, tant on dirait un petit mouton doux et sauvage qu'on aimerait prendre dans nos bras, le reste m'a graphiquement semblé assez fade et convenu, déjà vu et revu. C'est bien fait, c'est correct, mais il n'y a pas de trait saillant qui se détache et accroche le regard du lecteur que ce soit en terme de composition ou d'originalité. C'est banal.



Bien qu'ayant été une lecture agréable, Sweetness & Lightning confirme un peu mes craintes quant à la collection à petit prix de Noeve : des titres sans reliefs qui sont juste des adaptations d'animés. C'est charmant, c'est mignon, mais le schéma répétitif et le contenu superficiel de l'oeuvre ne donne pas envie de pousser plus loin l'aventure pour moi. Peut-être que des amateurs de cuisine et de relations parentales y trouveront plus leur compte mais moi, il me manque quelque chose ^^!
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J’ai adoré l’anime Amaama to Inazuma adapté du manga. Autant dire que quand j’ai vu la traduction du manga Sweetness & Lightning et en plus à petit prix, j’ai foncé. Niveau édition, je suis agréablement surprise par le rapport qualité/prix. Soit il n’y a pas de jaquette mais grâce aux rabats les bonus cachés par les jaquettes sont présents. Le papier intérieur est plutôt bon. C’est l’histoire d’un papa veuf et prof qui élève sa fille comme il peut. C’est sa femme qui cuisinait et y mettait tout son corps. Il veut pouvoir prouver à sa fille son amour en passant par l'apprentissage de la cuisine et le partage de repas. Le hasard met sur leur route une étudiante dont la mère toujours absente tient un restaurant. Ce trio improbable va apprendre à cuisiner, va chercher à retrouver leur joie de vivre et surtout à faire plaisir. C’est aussi doux et choupinoux que l'anime. C’est le genre de petit tranche de vie qui fait du bien où l’on se concentre sur les bons sentiments. Hâte d’avoir la suite.

Je n’avais pas forcement prévu d’acheter ce manga tout de suite mais j’avais bien envie de tester cette nouvelle collection XS donc allay, pourquoi pas me suis-je dit. Surtout que j’avais vu quelqu’un qui avait dit avoir eu un coup de cœur. Comme quoi, je suis vraiment influençable.



On se retrouve dans la famille de Kohei qui s’occupe seul de sa fille Tsumugi suite au décès de sa femme. Tout à l’air de bien se passer, sauf en cuisine. Kohei ne sait pas cuisiner. Heureusement, Kotori, une jeune élève, travaillant dans un restaurant va lui apprendre. Ce que j’ai particulièrement aimé dans ce tome c’est que notre petite famille est heureuse. On n’a pas l’histoire d’un papa désemparer suite au décès de sa femme et qui va devoir apprendre à être père, non, on a un papa qui aime sa famille et donne le meilleur de lui-même pour la voir sourire. J’adore. La petite bouille de Tsumugi met tout de suite de bonne humeur. J’ai hâte d’en apprendre plus sur Kotori et sa famille. Je me suis bien attachée à nos personnages.



Je recommande à ceux qui cherchent une lecture bonne humeur et des personnages attachants.



4/5

J'ai découvert ce manga grâce aux conseils d'une libraire et je n'ai pas été déçue On y découvre un père qui s'occupe seul de sa fille depuis la mort de sa femme. Pour elle, il veut apprendre à cuisiner et va pouvoir le faire grâce à l'aide d'une de ses élèves dont la mère est restauratrice. C'est un plaisir de voir le père et la jeune fille apprendre à cuisiner ensemble, pour le plus grand bonheur de la petite Tsumugi. C'est un manga très mignon, qui fait chaud au cœur (et donne faim). Les personnages sont attachants et j'ai particulièrement aimé la relation père-fille. J'ai découvert plein de plats japonais que je ne connaissais pas et dont on nous donne les recettes détaillées entre chaque chapitre. C'était cool aussi de voir 2 familles monoparentales, je n'ai pas souvent vu ça dans un manga.

Quelques années après avoir visionné l'anime, j'ai pris plaisir à lire ce titre et à retrouver les personnages qui m'avaient touché ! Un titre tout doux et tranche de vie pour passer un bon moment autour d'idées culinaires. J'apprécie le lien entre ce papa et sa fille, et j'ai été touché par les efforts fournis malgré la perte de la maman. Pour le moment un peu moins touché par la lycéenne...

L'envie de bien cuisiner ont réuni Kotori, lycéenne aux parents divorcés et souvent absents, et Inuzuka, père célibataire depuis le décès de son épouse, tout ça pour le plaisir de la petite Tsumugi. Et dans le deuxième volume de cette chaleureuse et douce tranche de vie culinaire, cinq nouveaux chapitres sont au rendez-vous, pour autant de nouvelles situations.
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Sweetness & Lightning semble bien partie pour s'ancrer parmi ces lectures simples, profondément réconfortantes, et aussi chaleureuses qu'un bon petit plat mijoté avec amour.
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