Les maladies qui frappent l’homme ne le frappent pas systématiquement de la même façon ; pas plus qu’un patient ne réagit de la même manière à la prise d’un médicament. Ce n’est pas seulement le fait d’être attaqué par un virus qu’il faut analyser, c’est la gravité de l’attaque, son degré, son intensité et enfin sa précocité. Akhenaton aurait parfaitement pu souffrir d’un syndrome de Fröhlich léger. Ce qui lui aurait conféré cette apparence, ces traits féminins, sans pour autant l’empêcher d’avoir des enfants.