Florine eut sans doute ce jour-là, le premier chagrin de sa vie, un de ces tourments moroses collant comme de la glu, qu'on cache en fuyant le regard des autres, pour le laisser saigner en silence au fond de nous, en souhaitant le voir s'apaiser, non pas disparaitre, parce qu'on sait qu'il ne disparaitra pas, il restera enfoui là, près du cœur.