Mieux que le Nobel, la Pléïade
Pas un écrivain, sur la terre entière, qui ne rêve de la Pléïade ! (...)
Un volume de la collection vaut mieux q'un Nobel, mieux qu'une concession au panthéon. La Pléïade est une éternité. Les siècles feront de Paris une poussière, mais les auteurs de la Pléïade, du pauvre Job à Julien Gracq, murmureront encore. (p. 285)