Parler d’une réforme sexiste n’a donc aucun sens. De quel cadre institutionnel serait-elle sortie ? Les remarqueurs parlaient en leur nom, les académiciens en étaient encore à délibérer, les points de langue qu’on discutait ne visaient qu’à régler la conversation de quelques milliers de courtisans dont la « grammaire » n’avait rien de commun avec ce qu’on entend désormais sous ce terme.