Je tousse. D’abord doucement puis, pris d’une quinte, plus fort. La mouche ne réagit pas. Je pourrais fumer toutes les cigarettes du monde qu’elle n’aurait d’autre activité que de voleter de droite à gauche, surexcitée à l’idée de ne rien faire d’autre que de se frotter frénétiquement les pattes avant. Les mouches sont décidément des glandeuses hyperactives.