Car dans ses oeuvres de portraitiste attitré des Viennoises de la Belle Époque, comme dans ses compositions puissamment suggestives, Klimt a donné naissance à un type de femme fatale-cantatrice dirait Freud-dont l'érotisme morbide n'est pas sans équivalent à l'époque puisqu'on le retrouve aussi bien chez Audrey Beardsley en Angleterre que chez Fernand Khnopff en Belgique