Quand j'ai raconté cela à Antonia, en lui demandant si c'était vrai, si nous courions ce risque, elle m'a répondu que c'était une bêtise et que nous allions devenir des femmes peureuses, qui passent leur temps à attendre l'arrivée d'un fantôme et sont incapables de faire face aux vrais dangers, aux vraies crises.