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Critiques de Giulia Ecchili (7)
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La petite sorcière qui semait des contes

La petite sorcière qui semait des contes est un roman destinée aux lecteurs de 11-12 ans qui y trouveront un peu d'amour, de fantastique, de frisson et de poésie. L'ensemble sur un ton toujours extrêmement bienveillant et constructif. L'objectif est clairement d'inciter nos jeunes lecteurs à lire, à découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles perspectives, de nouvelles sources de joie au travers des livres, à croire en eux, dans la force du collectif et au vivre ensemble.

Pourtant, si l'objectif est louable, si tout les ingrédients sont réunis pour faire un bon roman, si le titre même est prometteur, il m'a semblé que tout se déroulait de manière trop facile, trop évidente.

Serait-ce le poids des ans qui m'amène à penser que tout ne peut pas être aussi simple, qui freine des quatre fers dès lors qu'on lui dit que tout pourrait être plus facile si l'on croit à la sagesse de nos ancêtres, à la sagesse des contes, aux valeurs dites traditionnelles ? Et dans ce cas, serait-ce à dire que mon âme d'enfant aurait disparu au fil des ans ? Alors, en fin de compte, ce roman ne s'adresserait pas seulement aux jeunes lecteurs, mais aussi aux lecteurs plus aguerris qui ont oublié leur âme d'enfant quelque part en cours de route et qui au fil des ces quelques 300 pages retrouvent le goût de l'enfant insouciant, pour qui tout semble si simple...
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La petite sorcière qui semait des contes

Avant tout, je voulais remercier Babelio et les éditions "Le Verger des Hespérides" pour l'envoi du livre "La petite sorcière qui semait des contes" dans le cadre de la Masse Critique du mois de mai.



Un petit vent de fraîcheur vient de souffler sur mes lectures avec cet ouvrage, clairement adressé à de jeunes adolescents. Le style est léger, agréable, actuel et plein de bonnes intentions.



Par contre, le caractère d'impression est grand et les illustrations trop lourdes et trop importantes à mon goût. J'imagine que ceci peut plaire aux jeunes, même à ceux qui n'aiment pas lire.



Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, elle fait écho à nos souvenirs d'étudiants et certainement au présent des jeunes qui la liront. Nous avons tous connu un professeur qui par sa technique d'enseignement nous a ouvert les portes de la connaissance, l'envie d'apprendre plus, plus loin que le cadre du cours. Ici, c'est un prof de français, férue de contes et légendes, qui va enthousiasmer une classe par ces histoires et la présence d'une vieille dame, grande conteuse qui va éveiller des vocations. Ce n'est pas encore le Cercle des Poètes disparus mais il y a un petit clin d’œil dans les lignes...



L'auteur va au fil des pages dévoiler l'importance des contes, de ce qu'ils reflètent, de la transmission des paroles, de la culture de chacun. Il va démontrer que la prise de parole en assemblée (torture pour certains, plaisir pour d'autres) est un exercice périlleux qui vaut la peine d'être réalisé et qu'un but commun dans une classe crée des liens plus solides que les relations de chaque jour.

Enfin, il va tenter de séduire les étudiants en leur parlant des bibliothèques et des trésors qu'elles recèlent quand on a quelqu'un de perspicace pour vous conseiller.



Comme dit plus haut, une lecture fraîche, attendrissante, dans l'ère du temps mais pas un coup de coeur pour moi, trop vieille pour être touchée par cet écrit.



Vivement conseillé pour les lectures scolaires !

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La petite sorcière qui semait des contes

Une classe de 6e, hétérogène, une forte tête qui harcèle, un groupe qui suit, des élèves "différents", un professeur documentaliste soupçonné d'être un vampire... Et une prof de français, Mme Blandillon, qui commence à raconter des histoires, tous les mercredis matin... Puis demande aux élèves de faire de même, avec la complicité d'une vieille dame, Lucie, une petite sorcière qui va les attirer dans ses contes, leur faire découvrir le monde, aller vers l'autre et s'écouter, se soutenir, s'aider...

Une histoire basée sur celle de Suzy Platiel, passeuse de mots, faiseuse d'histoires, et qui donne envie de retourner aux veillées d'antan, et de raconter des histoires aux enfants et aux autres d'ailleurs...
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La petite sorcière qui semait des contes

La petite sorcière qui lisait des contes c’est la vieille dame aux cheveux un peu fous , décoiffés qui vient chaque semaine lire des livres dans une classe de jeunes âgés d’une dizaine d’années à la demande de leur institutrice .

Puis au fur et à mesure que les semaines passent ,les enfants se prennent au jeu et prennent la parole à leur tour , ils content l’un devant les autres .

On découvre ainsi au fil des pages des contes traditionnels dans leur entièreté ou en résumé , des légendes .

L’intention est louable mais le problème c’est que la sauce ne prend pas , le procédé est trop artificiel .

Dommage car il y a vraiment de bonnes intentions , par exemple quand les jeunes vont dans une résidence pour personnes âgées , ça se fait réellement et ça donne de très beaux moments de partage .

Ici dans ce roman , l’histoire elle même ne m’a pas convaincu , le récit de la venue de la vieille dame , celui des matchs de foot .

Dernier petit point négatif mais pas des moindres , je n’ai pas aimé le papier utilisé , ni les couleurs .

Au risque de me faire incendier , moi ça me fait sourire toutes ces polémiques sur papier ou liseuse , sur la fameuse odeur du livre , moi ça ne me fait pas du tout rêver cette odeur du livre , pour moi , le principal c’est ....LIRE .

Pour en revenir au livre , je souhaite malgré mes remarques beaucoup de succès à l’auteur , je suis une grande amoureuse de contes et légendes , et j’ai découvert un ou deux contes dans ce roman .

Merci à Babelio pour l’envoi de ce masse critique.
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Le pharaon félon et le chat qui jouait avec l..

Tout d'abord merci Masse critique pour ce livre et merci aux éditions Hespérides pour l'envoi.

Tout d'abord ce petit roman est une oeuvre jeunesse vraiment destiné pour les jeunes enfants. Pourtant, j'ai beaucoup appréciée cette lecture.

Tout d'abord le cadre : l'Égypte à notre époque puis l'Égypte ancienne, des choses très intéressantes nous sont apprises (géographie, histoire, les croyances, coutumes) et nous nous croyons presque sur les lieux (descriptions des villages, fleuve)

Ensuite les personnages, très attachants, courageux et fidèles (entre eux ou bien envers leur croyances).

L'écriture est très agréable et vous plonge immédiatement dans l'histoire.

Petit bémol sur les illustrations qui ne m'ont pas plu.

Je recommande vivement ce petit roman pour les enfants
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Le pharaon félon et le chat qui jouait avec l..

Un petit tour dans le passé il y a environ 2800 ans au temps du pharaon Osorkon, ça vous tente ? Alors si vous avez, disons 8 ans et plus, vous n'avez plus qu'à suivre un petit chat gris et blanc et vous laisser guider !



C'est ce qu'ont fait Céleste et Olivier, des jumeaux de 12 ans. Alors que leurs parents, fascinés par l'Egypte ancienne, découvrent les restes du temple de Bastet, la déesse chatte, les 2 adolescents sont attirés par les miaulements d'un petit chat. Petit chat très convaincant qui va les amener vers d'incroyables aventures.



Les passionnés d'Egypte vont être ravis de se retrouver dans un temple tout neuf, fraîchement décoré de peintures et statues d'Anubis, Horus, Osiris, la déesse Nout, le dieu Thot et bien sûr l'héroïne de l'histoire Bastet.



Au cours de leur voyage, Céleste et Olivier rencontrent 2 autres jumeaux de leur âge, Néfer et Néhi, ces derniers vont partager leurs péripéties.



Dépaysement garanti avec le marché de Bubaste où potier et marchand de sandales se côtoient sous un soleil implacable, Râ ou Rê veille !

La fête de Bastet se prépare, le scribe Hetep en écrit le déroulement. Des milliers de fidèles se retrouveront au bord du Nil.

Je ne vous en dis pas plus.



Vous trouverez des gentils, des méchants bien sûr qui manigancent pour prendre le pouvoir, c'est intemporel ça !

Crocodiles et scorpions seront sur votre chemin, des hippopotames aussi et bien sûr... des chats !



De l'Histoire, de la mythologie, de l'amitié, du suspense, un message de tolérance, vous trouverez tout cela dans ce livre d'un format sympathique et à la couverture assez jolie.



Bon, d'accord, les illustrations sont un peu inhabituelles, elles permettent néanmoins d'aérer le texte et de le rendre plus attrayant pour les plus jeunes.



Je pense que ce roman Jeunesse peut faire l'objet d'un cadeau agréable et instructif.



J'ai bien aimé quant à moi, et étant intéressée depuis mon plus jeune âge par l'Egypte et amoureuse des chats, je n'ai pu que cocher ce roman lors de la Masse critique Jeunesse. Je suis ravie d'avoir été sélectionnée pour le lire et je remercie chaleureusement Babelio et les Editions Le verger des Hespérides ainsi que l'auteur bien sûr.
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Le pharaon félon et le chat qui jouait avec l..

Jouer au chat et à la souris existe de toute éternité et il arrive, à l'heure de la sieste, en contexte de canicule, que la rêverie mute la souris en momie et songe à un complot menaçant un pharaon huit siècles avant notre ère … c'est ainsi que Céleste et Olivier se trouvent plongés dans une intrigue et confrontés à des scorpions et des crocodiles.



Scénario ludique et intriguant qui met en scène deux fratries de faux jumeaux curieux, intrépides et justiciers en qui tout lecteur de cours moyen ou de sixième s'incarnera avec bonheur ; scénario qui m'a rajeuni de de deux mille-huit cents ans puisque plusieurs de nos petits enfants sont convaincus que dans ma jeunesse j'ai connu les pharaons ;-))



Autant dire que ce roman, reçu dans le cadre d'une opération Masse Critique (merci Babelio et merci à l'éditeur) aurait tout pour plaire si les illustrations étaient de même qualité. Mais les dessins (des gribouillages en noir et blanc) ne respectent ni les proportions, ni les perspectives et abusent de gros plans qui font que les personnages se distinguent mal les uns des autres et qu'il est impossible de différencier un crétois d'un égyptien et un pharaon d'un prêtre ou d'un cordonnier. Par ailleurs (est ce une erreur de composition ?) la même illustration est reproduite plus de vingt fois et occupe donc 21 pages ce qui me semble absurde (1, 4, 6, 14, 22, 28, 42, 78, 96, 106, 116, 126, 148, 166, 176, 192, 208, 210, 220, 226, 232).



Voici pourquoi ce handicap ne me permet pas de mettre cinq étoiles à cet ouvrage pénalisé par ses illustrations. Espérons qu'une prochaine réédition corrige cette faiblesse.
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