Ça se nettoie, les croyances. Ça se dégage, les stéréotypes. A défaut d’éliminer tout à fait le viol, on peut au moins le regarder en face, apprendre à écouter les victimes, commencer à condamner les coupables et le réduire, à l’arrivée, à sa portion congrue de psychopathes invétérés. (P 134)