Et c'est sous l'influence de Dante, (...) que Byron s'enflamma pour la liberté italienne; il s'inscrivit à la société carbonarienne "Les Américains", distribua des manifestes, organisa des complots et importa des armes d'Angleterre.
Et une nuit les gardes pontificaux tentèrent de lui faire la peau, dans une impasse de Ravenne; mais le poète, aidé de son chien, se défendit si bien qu'il expédia deux de ses agresseurs à l’hôpital.