Jamais, depuis sa maladie, il n'avait tendu les bras vers nous, il vivait toujours à demi recroquevillé, indifférent à ce qui l'entourait, à nous qui guettions chacun de ses gestes, qui espérions un sourire.
Et tout d'un coup, ce geste, ce mot !
C'était sûr, on pouvait l'aider, on devait l'aider ,malgré les affirmations de cet abruti de médecin.