Ça suffit : l'avalanche de ce qu'on appelle activités me happe et me fait perdre la vraie vie, l'écriture. Pour aujourd'hui je m'offre une trêve préindustrielle et demain je verrai.
Aller dans un couvent ! S'il y avait des couvents laïques où se réfugier , loin de ces combines minables qu'impose le monde. Voilà que je me retrouve comme une religieuse (de l'écriture), écartelée entre la vie mondaine et le désir de cultiver son esprit...