Trop de gens écrivent sur le bonheur pour leurs menus plaisirs ; ils se délassent de cette façon de n'avoir rien à faire ; les idylles et les pastorales sur ce sujet sont composées loin des gémissements des ouvriers de nos faubourgs et des plaintes déchirantes des malheureux habitants de nos campagnes.
Ce sont des rêves produits de l'ivresse des superfluités.