Andrews ne se retourna pas vers le cottage. Le regret s'était évanoui et même le souvenir du corps disgracieux qu'il abandonnait derrière lui. A sa propre surprise, il se sentait heureux et en paix, car son père était enfin vaincu, anéanti, et il restait en lui son moi, un moi qui ne connaissait ni la sensualité, ni le blasphème, ni la lâcheté, mais seulement la sérénité et la curiosité de ces ténèbres qui s'épaississaient autour de lui.