À présent les fluides de la jeunesse t’ont quittée, tu as perdu l’amour, le désespoir est seul à te tenir encore, le désespoir est le seul point d’appui de ton monde, la lecture de Teilhard t’a jetée dans un puits d’où tu lèves la tête et scrutes un trou de nuit infinie peuplée d’étoiles luminescentes, lointaines et mortes.