Dans la chambre de sa sœur régnait une odeur dont Dee n’était pas parvenue à se débarrasser par la suite. Cette odeur s’était accrochée à ses vêtements, à ses cheveux, à l’intérieur de ses narines.. Qu’importe le nombre de douches, la quantité de savon ou de parfum, elle n’avait pas pu s’en défaire. C’est indéfinissable, pas sucré, épicé ou acide. Juste lourd. Sombre. L’odeur de la mort.