Citation de oran
Un peu plus tard, Buonaparte décida de mener une autre charge, à cheval, cette fois-ci celle-ci fut aussi un échec. (…) il tomba avec son cheval dans un des canaux du marais qui l’environnaient, et finit couvert de boue :
« lors que le cheval du général Bonaparte, ces deux pieds
De derrière lui manquèrent – le cheval glissa le long de la chossai par une grande carricolade le cheval ce pricipita dans le marekage d’un cotte et le général Bonaparte de l’autre à six pas de son cheval » (copie du cahier d’André Estienne)
Cet épisode, conté parfois, mais rarement car peu glorieux, aurait pu extrêmement mal tourner, puisqu’il semblerait qu’il ait été dépassé par ses troupes, qui avaient reflué plus loin que son point de chute, les Autrichiens étant à la contre-attaque. C’est au prix d’une nouvelle poussée française qu’il fut récupéré, couvert de boue des pieds à la tête. Ce serait un certain »Mariole » qui le tira de cette position délicate.
« lors que le cheval du général Bonaparte, ces deux pieds
De derrière lui manquèrent – le cheval glissa le long de la chossai par une grande carricolade le cheval ce pricipita dans le marekage d’un cotte et le général Bonaparte de l’autre à six pas de son cheval » (copie du cahier d’André Estienne)
Cet épisode, conté parfois, mais rarement car peu glorieux, aurait pu extrêmement mal tourner, puisqu’il semblerait qu’il ait été dépassé par ses troupes, qui avaient reflué plus loin que son point de chute, les Autrichiens étant à la contre-attaque. C’est au prix d’une nouvelle poussée française qu’il fut récupéré, couvert de boue des pieds à la tête. Ce serait un certain »Mariole » qui le tira de cette position délicate.
